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    Ce blog est une source de partage de mes expériences en Nouvelle-Zélande mais aussi d'informations, d'inspirations, de divertissements, d'interrogations, de rêves, de mots, d'images ...

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Faire du wwoofing en NZ – 10 conseils

Vous êtes inscrit sur WWOOF NZ, vous êtes en possession de votre code d’accès et/ou de votre carnet pour partir à la recherche des meilleurs lieux où séjourner ? Ces lignes sont pour vous. Sinon une intro de rattrapage  ici

1. Si vous planifiez votre séjour avant de partir en Nouvelle-Zélande, n’oubliez pas que le décalage horaire est de 9 à 10 h selon la saison. Arrangez vous avec votre hôte pour avoir des horaires aménagées les premiers jours et pouvoir récupérer au mieux du « jet-lag ».

Hé oui, après au moins 24 heures de vol (sans compter le temps des escales), se mettre au travail risque d’être difficile. Renseignez-vous sur les horaires pendant lesquelles votre (vos) hôte(s) ont besoin de vous, cela vous évitera de vous lever aux aurores dans un état vaseux pour cause de réveil intempestif à 3 heure du mat’.

2. Intégrez le wwoofing dans votre projet de voyage et de découvertes. Le WWOOF est une démarche spécifique et avoir des buts permet d’avoir de la motivation pour le travail réalisé et de la fierté lorsque celui-ci est accompli.

Par exemple, certains hôtes sont orientés sur le partage de la culture maorie. Vous pouvez aussi être attiré(e) par l’éco-construction en particulier et trouver des lieux sur lesquels participer à un projet de construction et vous former.

3. Une fois vos envies définies cela vous permet de sélectionner les lieux les plus adaptés à vos intérêts, et aussi selon les qualifications requises. Crée votre propre liste. Parcourir le carnet d’adresse prend du temps mais c’est un gain précieux d’avoir fait une sélection au préalable lorsque vous désirez changer d’aire géographique.

4. Contactez les hôtes au moins 2 semaines à l’avance pour ne pas vous retrouvez bloqué et n’hésitez pas à sélectionner plusieurs lieux dans une région.

5. Si vous avez besoin de travailler de façon rémunérée vous pouvez trouvez un arrangement avec votre hôte afin qu’il vous permette d’être libre pour chercher du travail aux alentours. Pour cela il ne faut bien sûr pas se trouver dans une zone trop excentrée et au mieux avoir un moyen de transport (van, vélo …). Les séjours de longue durée sont plus propices à ce type d’arrangement.

6. Lorsque vous contactez un lieu précisez vos qualités, les tâches que vous êtes capable d’accomplir mais aussi les compétences que vous souhaitez acquérir ou perfectionner. Cela permettra à la personne qui reçoit votre demande de se faire une idée et d’estimer votre motivation. Cela s’avère important en particulier pour les lieux qui sont très appréciés (projet attirant couplé à du bouche à oreille efficace).

7. N’oubliez pas que vous êtes aussi là pour découvrir le pays. Le wwoofing est un échange, cela ne consiste en aucun cas pour l’hôte à obtenir une main d’œuvre journalière gratuite et « innocente ». Si vous travaillez plus de 6 heures par jour sans contrepartie, comme par exemple un jour entier travaillé contre un jour de repos, alors n’hésitez pas FUYEZ ! N’ayez pas de remord, il existe des personnes sans scrupules.

Si vous n’êtes pas en train d’apprendre, de vous amusez (au moins un peu), en plus de contribuer c’est que l’échange n’est pas « intéressant ».

Théoriquement le gîte et le couvert (ce qui signifie trois repas par jour!) sont proposés contre la moitié de la semaine travaillée, ce qui correspond généralement à 4 heures de travail par jour (sans jour de repos) ou 5 heures de travail par jour avec un jour de repos complet par semaine.

Parfois certains chantiers nécessite de passer plus de temps, à vous d’évaluer la pertinence de votre investissement en fonction de ce que cela vous apporte.

Personnellement, il m’est arrivé de travailler de nombreuses heures sur un chantier d’éco-construction car j’apprenais énormément et il y avais un important échange humain. Dans ce cas précis j’avais l’opportunité de me former sur le tas pour acquérir des connaissances et savoirs-faire sans avoir à payer un stage spécifique.

8. Je rappelle donc que le wwoofing est aussi, en plus d’un échange, un moyen de découvrir un pays et ses habitants. C’est un très bon outil pour faire de l’éco-tourisme. Vos hôtes peuvent vous conseillez des lieux à voir, des balades à faire et au mieux vous déposer si vous avez besoin de prendre un bus ou un bateau.

Il est conseillé de se renseigner sur les possibilités (visites, loisirs …) qui se trouvent aux alentours du lieu d’accueil et d’estimer votre niveau de dépendance en particulier pour les endroits « perdus » (si vous souhaitez vous déplacer hors du lieu ou partir au plus vite 🙂

Note: pas besoin de visa spécifique pour faire du wwoofing. Un visa touriste suffit ou vous pouvez opter pour le VVT (Visa Vacances Travail) pour un séjour au-delà de 3 mois dans le pays.

9. Si vous voulez faire du wwoofing l’hiver (juin à septembre) prévoyez un imperméable et une paire de gummies (du nom de la marque de bottes)

10. Faite votre programme, ou plutôt votre liste d’envies, et laissez de la place aux opportunités.

70 Million

La chanson permaculture

en anglais

Blog en cours d’actualisation

Le blog ayant été utilisé de manière très irrégulière durant mon séjour en Nouvelle-Zélande, je suis actuellement en train de le compléter pour partager mon expérience.

Cela me permet de prolonger les souvenirs, avec un peu de nostalgie. Mais le voyage ne s’arrête pas, de même qu’il y a une phase de préparation avant le départ, il y a également une phase de bilan et de transmission après le retour.

IRD number

Pour ceux qui ont un VVT – Visa Vacances Travail, l’envie et/ou le besoin peuvent vous emmenez à travailler en Nouvelle-Zélande.

Vous aurez besoin pour cela de l’IRD number, qui s’apparente à un numéro d’immatriculation de travailleur.

Il s’obtient en moins de deux semaines et vous pouvez le demander depuis plusieurs endroits en Nouvelle-Zélande.

Il vous faudra juste communiquer une adresse, qui peut être celle de vos hôtes wwoof, pour recevoir le courrier.

Entretenir un blog de voyage

De mon avis et retour d’expérience, il est préférable de créer son blog ou son site avant de partir et pour les novices prendre le temps de se familiariser avec son fonctionnement.

Pour transmettre et partager au mieux, il me semble qu’un bon appareil photo est indispensable ainsi qu’une quantité suffisante de piles – préférable à une batterie rechargeable.

Prendre un petit ordinateur dans ses bagages est le plus facile également pour stocker ses photos et  alimenter régulièrement son blog de voyage car l’on peu écrire et mettre en forme à l’avance.

Enfin, visiter les blogs d’autres voyageurs est une grande source d’inspiration.

Et puis lachez-vous, chaque blog est aussi unique que le voyage que vous ferez/faites.

Bon voyage,

Ma toute première fois

Je m’en vais vous conter ma toute première fois. Car elle ne fut point en Nouvelle-Zélande mais en France deux ans auparavant.

Que fit-je, me direz vous, pour la première fois ?

 

Du WWOOF !!!

Et là chers lecteurs (si vous n’êtes pas encore renseigné), je suis sûre que ce mot martien dont la sonorité rappelle inconstestablement un fidèle ami de l’homme, qui remue la queue et ne sens pas toujours agréablement bon, vous trouble un peu (c’est le mot martien qui vous trouble, pas le chien, on est bien d’accord).

Une brève explication ici.

A cette époque (2008) intéressée par les plantes médicinales, j’en discutais avec une amie qui me fit connaître un endroit dans lequel elle séjourna elle-même et dont elle avait fort apprécié la typicité.

Je me renseignais au plus vite sur le concept à peine découvert et, ravie des principes d’échange et de partage prônés par le wwoof, j’appelais un certain Jean-Louis pour lui proposer mon aide.

A ce moment le mois de juillet prenait fin et je n’entrevoyais point la chance de partir en vacances. En ex-étudiante fraîchement remise d’un échec imparable à l’examen final après deux ans de BTS, je me retrouvais dans la perspective de chercher du travail, avec mon bac en poche, sans même envisager un redoublement… poil aux dents.

Une voix féminine répondant au nom de Caroline, la dite compagne de Jean-Louis, me répondit au téléphone. D’une sonorité chaleureuse, cette voix était prête à m’accueillir dans une semaine pour une quinzaine de jours de wwoof dans leur exploitation.

Quelques jours passèrent et je partie au volant de ma nouvelle compagnonne de route dénommée KA (ma première et encore fidèle voiture).

Au départ de Carcassonne, c’est sur les airs de Clinton Fearon que je roule en direction de la montagne noire pour rejoindre Olargues, petit village de l’Hérault situé non loin de St Pons de Thomières.

L’itinéraire qui passe par Caunes Minervois jusqu’à St Pons est tortueux mais génial comme petite route de vacances. Après St Pons de Thomières je dois continuer jusqu’à St Etienne d’Albagnan.

Passé ce pont je commence à suivre une route menant progressivement à l’intérieur du massif boisé et 20 bonnes minutes plus tard, ayant pris soin de suivre la direction de la ligne électrique, je suis arrivée aux Jardins du Salvet.

Il fait chaud et l’ombrage des châtaigners est vraiment agréable.

Je suis accueillie progressivement par toutes les personnes déjà sur le lieu: Jean-Louis et Caroline pourrait être décrit comme un couple des bois, ils semblent parfaitement adaptés à leur environnement.

Jean-Louis arbore une barbe généreuse cachant à moitié un visage rieur. Il porte des vêtements simples et confortables sur son corps aux muscles taillés et à la peau tanée par de nombreuses heures de labeur au soleil.

Une volumineuse chevelure noire portée naturellement jusqu’aux épaules et le teint halé tout comme son compagnon, je rencontre Caroline marchant pieds nus dans la cuisine à l’ambiance fraîche et sombre. Elle est entourée de ses deux filles, Silène et Jasmine, qui ont respectivement 5 et 1 an.

Cette petite famille vit avec deux personnages que je croiserais à peine car ils seront absents durant le reste de mon séjour. Bruno et Maya vivent chacun dans une caravane et travaillent sur l’exploitation selon les principes du wwoof. Ce sont des wwoofeurs de longue durée car ils sont tous les deux là depuis plus de un an.

Maya s’occupe du jardin potager. Je suis à peine arrivée que, suite à mes questions, elle m’explique son cas de wwoofer:

Je suis arrivée ici il y a un an. C’était mon premier wwoof et je ne suis plus partie depuis.

Je me dit que, pour que cela se produise, ce lieu et les gens qui y vivent doivent surement être très bien.

Dans la foulée je rencontre les autres wwoofers:

Thiago, un belge d’origine brésilienne a la peau basanée et des cheveux noirs mi-long, genre afro en un peu moins frisé. Il porte le sourire aux lèvres aussi bien que sa paire de lunettes sur le nez.

Il y a aussi deux amies anglaises venues passer des vacances d’un autre genre dans le Sud de la France. Elles partiront quelques jours après mon arrivée.

Dès le lendemain arrive Simon, un pseudo-breton (il paraît que Rennes ne fait pas parti de la Bretagne), courte crinière blonde parfois relevée au dessus de la nuque.

Nous travaillons de nombreuses heures chaque jours pour récolter des plantes aromatiques et médicinales (PAM).

Parfois sur le domaine du Salvet en taillant sauge, lavande ou menthe, tantôt dans les environs pour l’achillée millefeuille ou l’armoise.

Les longues journées se terminent par une dîner tardif toujours délicieux, composé de produits bio et de discussions animées.

Le lieu est équipé des seules toilettes sèches à séparation d’urée (urine, azote) que j’ai rencontré jusqu’à aujourd’hui.

Les semaines passèrent sous le soleil, parfois à l’ombre ou l’abri dans le séchoir et je me vit gratifiée pour mon départ de produits artisanaux tels que du sirop à base de la menthe que nous avons récoltée, des pots de châtaignes et le prêt d’un livre de Scott Peck.

Simon parti au bout d’une semaine et Heather, venant d’Haïti et faisant un tour du monde, l’a remplacé. Thiago s’en fut un jour avant moi rejoindre l’Italie. La veille de mon départ il y eu deux nouvelles arrivantes. Thiago et moi partagèrent notre savoir-faire acquis avant que chacun repartent et passent le relais à un nouveau groupe de wwoofeurs sur le lieu.

En plus d’avoir appréhender un métier et le mode de vie d’une famille, j’eu l’occasion de rencontrer une dizaine de personnes venant d’horizons différents à travers la France, l’Europe voire à travers le monde.

Cette première fois a été une entrée vers le monde « alternatif » et vers le voyage.

 

PS: Durant mon séjour nous sommes allés supporter les cyclistes du premier Altertour de France.

Scène Reggae

Certains groupes de reggae, tels que Katchafire, Fat Freddy’s Drop ou encore Kora font partie de la culture musicale néo-zélandaise.

Pas besoin donc d’être fan de reggae pour être familier avec leurs chansons. N’importe quel jeune néo-zélandais peut vous citer au moins ces trois groupes.

Pour plus de détails sur la scène reggae de Nouvelle-Zélande, je vous renvoie à cet excellent article, qui comprend  également une très bonne présentation sur le pays.

Le Lin de Nouvelle-Zélande

Le Lin de Nouvelle-Zélande (New-Zealand Flax), aussi appelé Phormium, du nom botanique Phormium tenax pour le plus courant, est très utilisé en France, et dans les zones tempérées du monde entier, pour son aspect ornemental et son feuillage persistant.

Le Tui raffole du nectar de ses fleurs, lesquelles permettent de très bien reconnaître cette plante et de photographier l’oiseau plus facilement. Il semble même que certains se retrouvent en état d’ivresse suite à une consommation excessive car les fleurs produisent une très grande quantité de nectar. La hampe peut atteindre 5 mètres de hauteur.

Le naturaliste Jacques Labillardière a recueilli les premières plantes lorsque des navires français ont visité le nord de l’île du Nord en 1793. Il a noté les nombreuses utilisations que les Māoris faisaient de la plante et, en 1803, lui a donné le nom scientifique Phormium, qui signifie panier ou en osier, et tenax au sens de ténacité ou exploitation rapide.

Deux espèces sont courantes en Nouvelle-Zélande, le Phormium tenax (Harakeke) et le Phormium cookianum (Wharariki).

http://www.doc.govt.nz/conservation/native-plants/harakeke-flax/

Cette plante a joué un rôle important dans la culture, l’histoire et l’économie du pays.

Utilisations

Lorsque les Māori débarquèrent en Nouvelle-Zélande, ils avaient apporté avec eux le mûrier de Chine (mûrier à papier, Broussonetia papyrifera), plante dont ils récupéraient l’écorce pour faire des textiles et des cordages. Malheureusement, le mûrier à papier ne s’est pas adapté au pays et les Māori ont dû trouver dans la flore locale une plante de substitution, ils l’ont alors remplacé par le Lin de Nouvelle-Zélande.

Le tressage et le tissage (raranga) des fibres étaient fait avec seulement deux grandes variétés sur près de 60 identifiées. Ils ont par la suite soigneusement cultivé leurs propres pépinières et plantations.

Les feuilles étaient coupées près de la base des plants en utilisant une coquille de moule pointue  ou des roches. La substance charnue verte de la feuille était décollée en utilisant la même technique jusqu’à la séparation de la fibre. Celle-ci subissait alors plusieurs processus : lavage, blanchiment, pour la ramollir, teinte puis séchage. La tenue en traction de la fibre déterminait ensuite son usage.

Les fibres étaient utilisées pour confectionner des pièges à anguilles (hinaki), des filets de pêche étonnamment grands (kupenga), des lignes, des pièges à oiseaux, des cordages, des paniers (Kete), des sacs, des tapis, des vêtements, des sandales (parara), des seaux, des paniers (rourou), des ustensiles de cuisine, etc…

Les cordes et cordages faits à la main ont une si grande résistance à la traction qu’ils étaient utilisés avec succès pour assembler les rondins creux servant à la fabrication des waka (grands canots capables d’aller sur la mer). Les fibres étaient également utilisés pour faire les gréements, les voiles, les chaînes d’ancrage des bateaux et les toits des maisons, tandis que les tiges de fleurs séchées, qui sont très légères, étaient liées avec de la ficelle de Phormium pour faire des radeaux fluviaux appelés mokihi.

Les extrémités séchées des feuilles, quant à elles, étaient façonnées en torches pour fournir des lampes la nuit.

Le kahu huruhuru, un vêtement traditionnel fortement estimé par les Māori, était aussi fabriqué avec des fibres de Phormium (appelées muka) consciencieusement lavées, blanchies et travaillées à la main jusqu’à ce qu’elles deviennent très douces pour servir de base au beau manteau orné de plumes colorées d’oiseaux locaux: Huia, Kiwi, Tui, Kereru et Kaka.

Propriétés médicinales

Pendant des siècles, les Māori rassemblaient le nectar abondant des fleurs pour en faire un miel brut et comme condiment de nourritures. C’était la myriade d’utilités médicinales qui ont rendu cette plante très importante pour la santé.

Les racines bouillies et écrasées étaient appliquées comme cataplasme sur les brûlures, les tumeurs, les abcès ou les ulcères.

Le jus des racines était employé comme désinfectant local par application, et pris par voie orale pour soulager de la constipation ou pour expulser des vers. Il a été également appliqué aux blessures par balles ou baïonnettes.

La sève gommeuse produite par le Phormium contient des enzymes qui favorisent la coagulation du sang et possèdent des qualités antiseptiques aux effets curatifs.

Économie

Au début du 18ème siècle, la qualité des matériaux de corde fait à partir du lin textile de la néozélandais était déjà largement connue internationalement. Il en était de même pour la qualité des arbres endémiques de la Nouvelle-Zélande qui ont souvent été employés comme longerons ou mâts. Le commerce du lin textile s’est développé lorsque les Māori ont remarqué les avantages du commerce. Ils ont alors adapté leur méthode de récolte, et n’ont cessé d’améliorer les techniques de filatures. Malheureusement, ces fibres étaient souvent vendue en échange de mousquets et de canon qui ont facilité les guerres de tribus et fait beaucoup de victimes.

Sources:

www.lesfibresvegetales.info

http://fr.wikipedia.org/wiki/Phormium

Les 11 fondamentaux de l’apprentissage

Les 11 fondamentaux de l’apprentissage

1 . Le savoir n’est pas une « chose » que l’on transvase du formateur au formé, et le formé n’est pas une éponge.

2. Apprendre c’est désapprendre.

3. Obstacles, conflits, freins et résistances sont inhérents au chemin de l’apprentissage.

4. Chacun a sa propre stratégie d’apprentissage.

5. L’apprentissage est facilité, lorsque l’on réfléchit sur le chemin parcouru.

6. Le groupe favorise l’apprentissage, lorsqu’il y a cohésion, dynamique et homogénéité dans les projets et la connaissance.

7. On apprend mieux lorsque le contenu est une réponse à un problème que l’on se pose.

8. L’apprentissage est facilité en « faisant ».

9. L’apprentissage est renforcé en abordant les notions en plusieurs fois et sous différents angles.

10. L’apprentissage commence bien avant une session et se termine bien après.

11. On apprend mieux lorsque l’on est motivé et que la formation a du sens pour nous.

Outils – Tools

English = français

  • Bucket = seau
  • Lawn mower = tondeuse
  • Mattock = pioche
  • Pipe = tuyau
  • Rake = rateau
  • Shed = abri, remise, hangar
  • Shovel = pelle
  • Stake = tuteur
  • Tool = outil
  • Toolshed = cabane à outils
  • Wheelbarrow = brouette

Français = english

  • Abri = shed
  • Brouette = wheelbarrow
  • Cabane à outils = toolshed
  • Outil = tool
  • Pelle = shovel
  • Pioche = mattock
  • Rateau = rake
  • Seau = bucket
  • Tondeuse = lawn mower
  • Tuteur = stake
  • Tuyau = pipe

Retour en France

Fraîchement rentrée en France je m’attelle à une mise à jour du blog.

Beaucoup d’articles en préparation, résultats de plus de 7 mois en Nouvelle-Zélande.

Je souhaite que ce blog représente une source pertinente d’informations sur le pays, pour tous ceux qui veulent partir, qui vivent en Nouvelle-Zélande ou pour les mélancoliques.

See ya later on 🙂

Décalage horaire

Le décalage horaire entre la France et la Nouvelle-Zélande est de:

10 heures lorsque  c’est l’été en France et l’hiver en Nouvelle-Zélande

12 heures lorsque c’est l’hiver en France et l’été en Nouvelle-Zélande

Quelques mots à propos de la ronronthérapie:

J’ai découvert cette méthode peu après mon retour en France donc je ne peux pas donner d’avis personnel.

Extrait issu de Psychologie Magazine N°292 – Janvier 2010

Récemment, Jean-Yves Gauchet, vétérinaire et inventeur de la « ronron thérapie », s’est aperçu que les vibrations du ronronnement aidaient à réduire le jetlag, fatigue liée au décalage horaire.

Au printemps 2009, il a conçu, en collaboration avec  le géant américain de l’informatique Apple, une application destinée aux téléphones portables iPhone. Le but: aider, après un voyage vers des rivages lointains, à récupérer le bon rythme rapidement grâce à une savante association de ronrons enregistrés, de conseils diététiques (notamment manger des noix), et la diffusion d’une lumière bleue générant la production de mélatonine.

Mélatonine: appelée hormone du sommeil et connue comme hormone centrale de régulation des rythmes chronobiologiques. Page Wikipédia

Pour en savoir plus sur la ronron thérapie: EfferveSciences

Au revoir

Auckland, grincheuse à mon arrivée au pays et toujours autant lors de mon départ.

La ville des voiles

On voit ci-dessus la Sky Tower surplombant les buildings et les bateaux qui font la renommée de la ville.

Amélioration du sol – Soil improvement

English = français

  • Ash = cendre
  • Chalk = craie
  • Dung = excrément, fumier
  • Dust = poudre, poussière
  • Hay = foin
  • Horn = corne (d’animaux)
  • Manure = fumier
  • Peat = tourbe
  • Rock dust = Poudre de roche
  • Seaweed = algue
  • Shell = coquillage
  • Shellgritt = sable de coquilles
  • Straw = paille
  • Wood Ash = cendre de bois

Français = english

  • Algue = seaweed
  • Cendre = ash
  • Cendre de bois = wood ash
  • Craie = chalk
  • Coquillage = shell
  • Corne = horn
  • Foin = hay
  • Fumier = manure
  • Poussière = dust
  • Poudre de roche = rockdust
  • Sable de coquillage = shellgritt
  • Tourbe = peat

Backpacker – Auberge NZ

Vous vous ferez vite au mot.

Backpacker vient du mot backpack, le gros sac à dos que beaucoup de jeunes voyageurs possèdent.

Backpacker est en fait l’équivalent d’une auberge de jeunesse. lls sont nombreux en Nouvelle-Zélande et présents dans n’importe quelles villes.

Les prix varient de 18 à 32 dollars(9 à 16 euros) en fonction de plusieurs critères:

–  la possession d’une carte de fidélité dans l’organisme auquel l’auberge adhère.

Les deux grands organismes d’auberges en Nouvelle-Zélande sont BBH et YHA – (article comparatif en préparation).

– le lieu, les prix varient parfois selon les endroits mais reste globalement dans tout le pays dans une fourchette de 20 à 30 dollars.

– le nombre de couchage par chambre, moins il y a de monde dans une chambre plus le prix augmente.

Les propositions commencent parfois à partir de 10 lits par chambre, ensuite ça peut être 8, 6, 4, jusqu’à chambre individuelle. Le prix grimpe généralement de 2 dollars à chaque fois que le nombre de lits diminue de 2. Les chambres individuelles sont les plus chères.

– La réservation par avance, permet parfois de bénéficier d’une réduction. En générale les auberges ne compte pas trop là dessus car en pleine saison c’est toujours plein. La réservation est plus une assurance pour vous d’avoir un endroit où dormir.

– Les prestations offertes.

La plupart des auberges sont en relations avec les organismes touristiques proches et peuvent vous aider pour organiser vos activités et arranger vos réservations (transports, visites…), souvent à un tarif préférentiel.

Une navette gratuite peut venir vous chercher pour vous mener à l’auberge et vous déposer ensuite lors de votre départ à l’endroit qu’il vous convient – dans la limite de la ville où se trouve le backpacker.

La mise à disposition de thé, café, sucre, parfois même une confiserie, gratuitement pour votre petit déjeuner.

Un accès, gratuit à certains endroits, à une piscine ou jacuzzi.

On y trouve toujours:

Une cuisine commune contenant tous les équipements nécessaires (vaisselle, frigo, cuisinière …) permettant de se faire à manger.

Certains backpackers ont une boîte et un étage « FREE » dans le frigo. Ainsi les gens qui s’en vont peuvent laisser certains aliments non consommés ou des paquets entammés à disposition pour d’autres.

Une laverie, souvent payante, avec des horaires d’utilisation (pas de machines qui tournent la nuit).

Les douches sont parfois dans les chambres (ça dépend de l’établissement) mais il y a toujours des sanitaires communs. Il est normalement toujours possible d’avoir une douche chaude matin et soir.

Hongi – Baiser maori

Le hongi  désigne la forme de salutation traditionnelle du peuple maori. Il consiste à joindre son nez à celui d’une autre personne puis de joindre également nos fronts.

Cette salutation est couramment utilisée lors de rencontres maories et des cérémonies.

Durant le hongi, les souffles de vie (le « ha ») sont échangés et mêlés.

Cette tradition est considérée provenir directement des dieux.

Après cet échange, l’un n’est plus considéré comme visiteur (« manuhiri ») mais comme une personne du pays(age) (« tangata whenua).

Cet acte, qui demande une ouverture de conscience pour être pratiquer ainsi qu’un respect de l’autre, est profondément pacifique et spirituel.

Ce type de salutation n’est pas banalisée tels que la bise ou la poignée de main en France.

 

Se loger

Voici toutes les possibilités pour se loger en Nouvelle-Zélande:

(peut-être que j’en oublie donc je dirais que c’est un gros aperçu)

Logements payants

Les backpackers = Auberges: peu chers, possibilités de rencontres internationales.

Les hotels: plutôt chers, peu convivials

Les « Bed and Breakfast » (B&B signifie littéralement Lit et Petit-déjeuner):

Un carnet d’adresses sur New Zealand Bed & Breakfast

ou Bed and Breakfast directory, vendent aussi un livre.

Je ne peux pas donner mon avis sur ce mode de logement car je n’ai pas tester en Nouvelle-Zélande. Je peux assurer par contre que la majorité des néo-zélandais sont très acceuillants.

Logements gratuits

Le Wwoofing est l’utilisation du WWOOF qui signifie  World Wide Opportunities on Organic Farms ou  Willing Workers on Organic Farms, soit en français, volontaire dans des fermes biologiques. Le principe est de travailler entre 4 et 6 heures par jour en échange du gîte, du couvert et aussi parfois d’une apprentissage de connaissances et savoirs faire.

Il faut préalablement acheter le livre, compter jusqu’à 50 dollars soit 25 euros environ.  WWOOF NZ.

HelpX: Basé sur le même principe que le wwoofing, le concept permet d’être nourri et logé chez l’habitant en échange de quelques heures de travail par jour. Le site internet permet de lire la description des lieux et également d’avoir des retours d’expériences par des volontaires sur les différents endroits.  Participation: 20 euros pour 2 ans.

Dans le cadre du wwoofing ou de HelpX, les hôtes demandent souvent une période de séjour d’au moins 1 semaine sur le lieu.

Couchsurfing: permet d’avoir un endroit où dormir pour une durée relativement courte, parfois juste une nuit.  Plateforme gratuite.

Van aménagé: Ils sont courants en Nouvelle-Zélande, à acheter d’occasion ou à louer, cela permet de voyager librement à travers le pays. Bien que l’on puisse déduire le coût du logement il ne faut pas oublier l’investissement de départ ainsi que la consommation de carburant qui modifient l’idée d' »économies ». J’ai rencontré beaucoup de jeunes voyageant en van qui passaient une ou deux nuits par semaines en backpacker pour avoir une vrai douche.

Abel Tasman

Abel Tasman est le nom de l’explorateur néerlandais qui découvrit la Nouvelle-Zélande en 1642.

Plusieurs lieux portent son nom, à commencer par la Tasmanie qu’il découvrit la même année que la Nouvelle-Zélande.

Il y a également la mer de Tasman située entre l’Australie et la Nouvelle-Zélande et le « Tasmantis » qui est le nom donné à l’immense continent sur lequel se trouve la Nouvelle-Zélande actuelle. Cette dernière n’est qu’une minuscule partie émergée de ce continent noyé, que les cartes de fonds marins représentent déployé de la Nouvelle-Calédonie (au Nord) à Campbel Island (au Sud).

Dans l’île du Sud du pays, un parc national porte son nom « Abel Tasman National Park »

Petits animaux – Little farm animals

English = français

  • Barn = grange, étable
  • Bee = abeille
  • Bee hive = ruche
  • Breed = race, type
  • to Breed = élever
  • Chicken = poulet
  • Chooks = poulets
  • Dust bath = bain de poussière
  • Dwarf = nain
  • Feather = plume
  • Flea = puce
  • (a) Fowl = (une) volaille
  • Hen = poule
  • Nest = nid
  • to Nest = nicher, couver
  • Pen = enclos, parc
  • to Pen = enfermer, parquer
  • Pig = cochon
  • Poultry = volaille
  • Rabbit = lapin
  • Roost = perchoir
  • Shelter = abri, refuge
  • to Shelter = abriter, protéger

Français = english

  • Abeille = bee
  • Abri = shelter
  • Bain de poussière = dust bath
  • Cochon = pig
  • Couver = to nest
  • Elever = to breed
  • Enclos = pen
  • Etable = barn
  • Grange = barn
  • Lapin = rabbit
  • Nain = dwarf
  • Nid = nest
  • Parquer = to pen
  • Perchoir = roost
  • Plume = feather
  • Poule = hen
  • Poulet = chicken, chook
  • Puce = flea
  • Race = breed
  • Ruche = bee hive
  • Volaille = poultry (plusieurs), fowl (une)